Si lon en croit lurologue brésilien Roberto Trulii, qui étudie la question depuis plusieurs années, la crise economique, et la menace du chômage quelle engendre, réduit (en moyenne) la taille du pénis de deux centimètres.
À lissue dun an de crise au Brésil, le spécialiste a, en effet, remarqué que chez 32 % des sujets quil a étudié " La taille moyenne du pénis au repos, qui était de 7 cm, est désormais de 5 cm ".
À ce rythme, et vu linsolente prospérité de la crise qui ravage aujourd'hui le " village mondial ", cest à l'évidence lavenir du zizi du travailleur qui semble menacé.
Daprès un sondage I.P.S.O.S. réalise du 9 au 17 octobre sur un échantillon de 533 salariés du privé pour le compte du C.N.P.F., il ressort que 56 % des personnes interrogées reconnaissent éprouver " un sentiment positif " à l'égard de leur patron quand ce nest pas de la " sympathie " (36 %), voire de " ladmiration " (23 %).
En clair, les salariés français du privé " aiment " leur patron qui, pourtant, ne les met pas à labri du chômage !
Rien ne nous autorisant à affirmer que les travailleurs français sont atteints du syndrome brésilien (car, 7 cm, faut pas déconner !) ni que cet éventuel syndrome puisse être consécutif à un amour que tout révolutionnaire tatoué lutte des classes se doit de dénoncer comme pervers, on nous pardonnera cependant, internationalisme oblige, de lancer aux uns et aux autres cet appel vibrant : " Zizis prolétaires de tous les pays, unissez vous ! ".