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À nos amis lecteurs

avril 1968.

L’abonnement pour le journal est un élément vital qui permet une stabilisation du tirage, ce qui explique que nous y apportons toute notre attention.

Lorsque l’abonnement d’un de nos lecteurs est terminé, nous le lui signalons sur son dernier numéro et nous continuons son service pendant un certain nombre de mois en lui rappelant chaque fois qu’il lui faut se mettre en règle avec notre trésorerie. Quelquefois, hélas ! notre avertissement reste sans échos, nous sommes alors obligés de supprimer le service du journal.

En général, le lecteur se réabonne en se plaignant de ne pas avoir été averti. Il résulte de tout cela un échange de courrier et une manipulation préjudiciable à notre administration qui, étant bénévole, est accomplie par des militants en dehors de leur travail particulier.

Aussi dès que la fin de l’abonnement est signalée, afin de faciliter notre tâche, nous demandons à nos abonnés de se mettre aussitôt en règle.

Notre Libertaire est un journal qui a droit de cité dans le monde — qu’il continue son ascension !

Les administrateurs,
Maurice Joyeux et Richard Pérez