Voici la réponse qu’au nom de tous il lui adresse :
Mon cher Poulaille, je trouve votre lettre porteuse de la triste nouvelle qui vous frappe.
Au cours du seul entretien que j’avais eu avec Hélène Patou j’avais pu apprécier la valeur et la simplicité de la compagne que vous perdez.
J’avais dit en son temps le bien que je pensais du livre qu’elle venait de faire paraître et dont je rendais compte dans « Le Monde libertaire ».
Que puis-je vous apporter d’autre ici que le réconfort de tous ceux dont vous avez si vaillamment défendu la cause par la pensée et par l’écrit.
À vous de cœur.
Maurice Laisant