par André (groupe de Montreuil)
À quelques exceptions près, nous sommes habitués à la « légèreté » des historiens professionnels qui ne craignent jamais d’empiler les contrevérités sur les erreurs factuelles quand ils se mettent en tête d’écrire sur les anarchistes ou sur ceux qui leur sont proches. Pierre Miquel vient d’en (...)