par Serge Utgé-Royo
Voila quelques jours, je relevais mon col de caban pour me garder du vent froid qui balayait le petit plateau des Pyrénées basques où nous allions enfouir les cendres de mon ami, de mon frère Gillou… Les potioks, chevaux semi-sauvages du pays, dont nous foulions le territoire, nous (...)