La triste et implacable liste de ceux qui nous quittent s’allonge chaque jour nous privant de la fraternelle présence de tant de militants qui ont lutté et souffert à nos côtés — ceux qui furent nos amis et qui s’en vont qu’ils soient assurés que nous ne pourrons les oublier. C’est ainsi que notre bon camarade François Mayoux nous a quitté dernièrement. Il est mort à La Ciotat. L’exemple de ce grand militant syndicaliste révolutionnaire fera l’objet d’un article dans notre journal.
S.C.