par Jean-Michel Bongiraud
« Lorsqu’on peint, deux touchers se rencontrent, celui de la main et celui du monde. Le toucher possède une énergie génératrice à laquelle correspond l’étalement du regard. Privé du toucher, l’œil peine à retrouver le chemin du regard et donc de la pensée », écrit Claude Margat. Dans ces (...)