En Espagne, si le Premier ministre Aznar a payé par une défaite électorale ses mensonges d’État, son successeur inattendu José Luis Rodriguez Zapatero à peine intronisé s’est empressé de rassurer la Bourse.
Lors de sa première conférence de presse le lundi 15 mars, il déclarait :
« Mon gouvernement sera un gouvernement qui n’interviendra pas dans le monde économique. Ce pays a besoin de davantage de parts de liberté économique. »
On croirait entendre du Jospin s’adressant aux futurs licenciés de LU-Danone. Et le nouveau modèle de François Hollande d’en rajouter :
« Nous ferons une politique économique pour que l’Espagne continue de croître, avec davantage de productivité et d’efforts dans la recherche et le développement des nouvelles technologies. »
Devinez qui va faire des gains de productivité ?
Jimma