Mardi 11 novembre
Espace Louise-Michel, 42 ter, rue des Cascades, Paris 20e (M° Jourdain)
De 14 heures à 19 heures : expo photos sur le Chiapas et la révolte en Kabylie, tables de presse, tables rondes et projection de film sur magnétoscope toute la journée.
Atelier d’art populaire, 49 bis, rue des Cascades, Paris 20e (M° Jourdain)
De 14 heures à 18 h 30 : exposition de calaveras et gravures de Nicolas De Jesus.
Studio de l’Ermitage : 8, rue de l’Ermitage, Paris 20e (M° Jourdain)
De 14 h 30 à 19 heures : projections de films suivie de discussions.
Paroles zapatistes contre l’injustice, 26 minutes (2002)
Les caracoles zapatistes, 26 minutes (2003)
Messages kabyles, 51 minutes (2001)
De 20 heures à 23 heures : musique kabyle et latino avec Ali et Bato loco.
Anarchistes en 2003 !
20 heures : Ce que veulent les anarchistes. Débat au Forum Léo-Ferré, 11, rue Barbès à Ivry (M° Pierre-Curie)
Mercredi 12 novembre
Dans le cadre de la journée « droit des femmes »
20 heures : Sexisme, homophobie, lesbophobie, transphobie, biphobie… Quelles luttes aujourd’hui ?
Aujourd’hui, les inégalités entre hommes et femmes, et les discriminations liées à l’orientation ou l’identité sexuelles sont toujours insupportables. Les femmes assument toujours l’essentiel des tâches ménagères, elles sont plus touchées par le chômage et la misère, victimes de la violence masculine, et la société continue de glorifier le sacro-saint modèle du couple hétérosexuel monogame avec enfants. Les luttes contre les pubs sexistes, contres les normes sexuées, pour les droits des transgènes, pour la reconnaissance de la parentalité des gays et lesbiennes… ont en commun la remise en cause du patriarcat et des rôles traditionnels des sexes. Une nécessité !
92, rue d’Aubervilliers, Paris 19e (M° Stalingrad ou Riquet)
Vendredi 14 à Saint Ouen
18 heures : Pour un antipatriarcat révolutionnaire
D’Emma Goldman à aujourd’hui, des femmes et des hommes se battent à la fois contre le patriarcat et contre le capitalisme. Le premier régit toute la société et construit chaque individu selon le schéma de la domination des femmes par les hommes, de la féminité par la virilité… Omniprésent et autonome, ce système s’appuie sur le capitalisme fondé sur l’exploitation et le profit et le renforce (le temps partiel des femmes, l’esclavage sexuel, etc.). C’est pourquoi, nous, anarchistes et féministes, nous pensons qu’il faut détruire à la fois le modèle marchand qui fonde notre société et la division de l’humanité en deux groupes inégaux qui justifie les discriminations actuelles.